Bonnet

Chaque hiver, un type de couvre-chef bien particulier et reconnaissable entre mille est de retour : le bonnet. Aujourd’hui disponible dans des styles et coloris extrêmement variés, le bonnet est porté par des personnes de tous âges et de tous genres. Vous souhaitez offrir ou vous offrir un bonnet d’exception ? 

Collection de bonnet pour femme et homme

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Bonnet : achat bonnets mode et tendance

Le mag Traclet

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Nous proposons une large gamme de bonnet : 

Bonnet femme, Bonnet homme, Bonnet enfant, Bonnet anti onde, Bonnet cachemire, Bonnet casquette, Bonnet court, Bonnet d'équipe, Bonnet de nuit, Bonnet Docker, Bonnet fourrure, Bonnet laine, Bonnet long, Bonnet miki breton, Bonnet peruvien, Bonnet pompon, Bonnet revers, Bonnet Ski, Bonnet pas cher, Bonnet Tricot

Avec une grande variété de coloris :

Bonnet Beige, Bonnet Blanc, Bonnet bleu, Bonnet bordeaux, Bonnet fushia, Bonnet Gris, Bonnet jaune, Bonnet marine, Bonnet Marron, Bonnet naturel, Bonnet Noir, Bonnet orange, Bonnet Rose, Bonnet rouge, Bonnet Vert, Bonnet Violet.

Le bonnet : votre crâne mérite mieux qu'un simple bout de tissu

On ne vous apprend rien : oui, un bonnet ça tient chaud. Mais saviez-vous qu'il peut aussi vous faire gagner 10 ans... ou vous rajeunir de 5 ans ? Qu'il existe des modèles capables de déclencher des passions dans les cours d'école comme dans les conseils d'administration ? Accrochez-vous (comme un pompon sur son bonnet), on vous explique tout.

De la libération des esclaves à votre dressing

Remontons le temps. En 44 avant J.-C., un Romain affranchi hisse son pileus - ancêtre du bonnet - comme un doigt d'honneur à l'esclavage. Avance rapide de 2068 ans : votre collègue Paul porte le même symbole de liberté en allant chercher ses croissants. Ironie de l'histoire ? Le bonnet phrygien de Marianne trône toujours dans les mairies. Preuve que ce bout de laine a toujours eu la tête dure.

Petite anecdote croustillante : au XIXe siècle, les marins français cousaient leur salaire dans la doublure de leur bachi. Une pratique qui a donné naissance à l'expression "avoir du foin dans ses bottes". Aujourd'hui, heureusement, les moyens de paiement ont évolué...

Choisir son camp : 7 bonnets, 7 personnalités

Le bonnet docker qui traîne sur votre étagère ? C'est votre moi streetwear qui sommeille. Le péruvien à oreilles de lama ? Votre âme d'aventurier contrarié. Décryptage :

  • Le reversé vintage : pour ceux qui portent des chemises à carreaux même sous leur doudoune
  • Le cagoule intégrale : l'arme absolue contre les -10°C... 
  • Le pompon géant : généralement accompagné d'une paire de Doc Martens et d'un carnet de poésie

Et le bonnet-casquette ? Une hérésie pour les puristes, un accessoire obligatoire pour les cyclistes urbains. À vous de voir où se situe votre seuil de tolérance.

Laine, cachemire ou synthétique : le choc des matières

La laine mérinos, c'est un peu rêche au début, mais de plus en plus agréable avec le temps. Le cachemire ? Très agréable mais avec un budget plus conséquent. Quant au synthétique... pratique, mais pas toujours glamour.

Le saviez-vous ? Un bon bonnet en laine de qualité peut absorber jusqu'à 30% de son poids en humidité sans donner cette sensation de serre-tête moite. 

2025 : l'année où votre bonnet va (enfin) vous faire remarquer

Oubliez les tons neutres rasoirs. La tendance ? Rose fluo façon néon tokyoïte, vert électrique à faire pâlir les sapins... Même le noir se porte désormais métallisé.

Les formes s'emmêlent :

  • Des modèles longs comme des bonnets de lutin (mais en version hype)
  • Des bordures dentelées façon feuilles d'automne
  • Et le grand retour du pompon géant - version XXL pour adultes assumés

Le top ? Les modèles réversibles jour/nuit. Laine vierge d'un côté, satin brillant de l'autre. Parce qu'on peut très bien enchaîner le bureau et les sorties sans passer par la case maison.

Comment porter son bonnet ?

La règle d'or ? Un bonnet ne se pose pas, il se conquiert. Trois positions clés :

  • Le "décontracté calculé" : légèrement en arrière, mèches rebelles incluses. Parfait pour le dimanche matin au marché.
  • Le "guerrier urbain" : tiré jusqu'aux sourcils, silhouette mystère garantie. Idéal pour les jours sans maquillage.
  • Le "je m'en foutisme chic" : de travers, avec une mèche qui dépasse. Réservé aux initiés.

Attention piège : un bonnet trop propre crispe. Laissez-le traîner deux jours sur la banquette arrière de votre voiture pour lui donner ce je-ne-sais-quoi de légèrement rebelle.

Le bonnet, dernier rempart contre l'uniformisation

Dans un monde où tout le monde s'habille chez les mêmes enseignes, le bonnet reste cette touche perso qui dit "je suis là". Qu'il soit tricoté main par mamie ou acheté dans un magasin branché, peu importe. Ce qui compte ? L'histoire qu'il raconte quand vous le coiffez à la va-vite en sortant acheter votre pain.

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